Premiers Recours

Des documents utiles pour se poser les bonnes questions en démarrant un processus.
Cette liste reprend un certain nombre de structures, actives à Bruxelles, en Belgique (souvent francophone) ou ailleurs, auxquelles on peut faire appel dans différentes situations liées à des violences (sexistes ou sexuelles) ou des conflits. Parfois ces structures répondent à des moments d’urgence imminente, parfois elles proposent du soutien de moyen/long-terme. Nous les avons organisées en différentes catégories : – Aides d’urgence et lignes d’écoute – Soutien aux victimes – Santé mental et Permanences psy – Médiation – Responsabilisation d’auteurs – Groupes de paroles entre hommes – Autodéfense – Réduction des risques en milieu festif – Formation aux méthodes non-prescriptives de prise en main des conflits
Quelles sont les questions à se poser avant d’exclure quelqu’un·e ? Cette fiche a été rédigée par le collectif français Fracas et s’adresse initialement aux milieux queers, féministes et militants. Il s’agit d’une liste de questions utiles quand un collectif/groupe est confronté à la possibilité de l’exclusion. L’exclusion en soi n’est pas une réponse à bannir mais on trouve utile de se poser les questions ci-dessous avant d’y avoir recours.
à partir de l’article de R. Morris, 1998 (dans Crimes et peines, 2021 – Gwenola Ricordeau) Ruth Morris distingue deux types de victimes : les victimes de violences interpersonnelles et celles d’injustices systémiques, comme le racisme ou la pauvreté. Ruth Morris pointe ici un problème majeur du système pénal : il détourne notre attention des rapports de domination et des injustices qui ont un caractère structurel. (…) Qu’elles soient victimes de violences interpersonnelles ou d’injustices systémiques, les victimes éprouvent toutes, selon Ruth Morris, cinq besoins.